Un changement pour le mieux à Saint Marc

novembre 03, 2011
Avant que le projet ne commence en 2008, Saint Marc avait, tout au plus, de l´eau courante neufs heures par semaine. De nos jours le service fonctionne 10 heures par jour, la moyenne la plus élevée de toutes les zones urbaines d´Haïti.

Le nouvel élan d´Mésoamérique vers son intégration

octobre 25, 2010
Le XII Sommet du Mécanisme de dialogue et concertation de Tuxtla a lieu demain 26 octobre à Carthagène, Colombie. Le Sommet comptera avec la participation des chefs d´Etat du Belize, Costa Rica, Le Salvador, Guatemala, Honduras, Nicaragua, Panama, Mexique, Colombie et République Dominicaine. Les mandataires parleront des avances de l´intégration régionale au sein du Projet Mésoamérique et accorderont les actions à venir.

Un coup d´œil sur les Caraïbes et la BID

septembre 27, 2010
Les membres de la BID des caraïbes anglophones – Bahamas, Barbade, Belize, Guyana, Jamaïque ainsi que Trinité et Tobago- avec le Suriname (néerlandophone), sont amenés à être mis ensemble pour des raisons historiques, de traditions, géographiques ou encore commerciales. Cependant leurs situations et défis pour le développement peuvent varier énormément.

Promotion des énergies renouvelables en Haïti, aux Bahamas et à la Barbade

mai 21, 2010
Des dizaines de milliers d’Haïtiens ayant perdu leurs maisons à Port-au-Prince ont quitté la ville et ont migré vers des villages ruraux ou des campements provisoires. Des organismes internationaux d’aide fournissent actuellement leur concours à la construction de dispensaires, d’écoles, de centres administratifs et d’entrepôts dans certains de ces villages, qui sont situés dans des zones reculées dépourvues d’accès aux services de base.

La Colombie et la BID

mars 17, 2009
Depuis le milieu des années 90, la Banque interaméricaine de développement (BID) est la principale source de financement multilatéral pour la Colombie. Au cours des 50 dernières années, la BID a financé des prêts et des projets de coopération technique non remboursable à hauteur de plus de $14,8 milliards.  

Reconstruire plutôt que raser

mars 01, 2003
par Peter Bate Pendant des décennies, les bidonvilles de Rio de Janeiro ont été représentés par des vides sur les plans de la ville. Au mieux, ces favelas, qui concentrent près du cinquième des habitants de la ville – étaient ignorées par les citoyens des quartiers plus aisés et abandonnées par les pouvoirs publics locaux. Au pire, les favelas étaient qualifiées de plaies sociales qui défiguraient l’un des plus beaux paysages urbains du monde, de cicatrices qu’il fallait effacer, en faisant usage de la force au besoin.